Célébrer la Parole de Dieu en communauté le mercredi 17 Mars — Diocèse de Carcassonne & Narbonne

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Célébrer la Parole de Dieu en communauté le mercredi 17 Mars

Publié le 11/03/2021
En ce temps liturgique du Carême, la Commission Diocésaine de Pastorale Liturgique et Sacramentelle propose, pour chaque mercredi, une trame de célébration de la Parole de type « Office des lectures » à tous ceux qui souhaitent ouvrir l'église de leur village ou de leur quartier pour un temps de prière communautaire dans le respect des règles de distanciation.

Cette forme de célébration offre une riche méditation de la sainte Ecriture ainsi que les plus belles pages des auteurs spirituels. De plus, notons que l'Office des lectures peut se célébrer à n'importe quelle heure du jour.

Suggestions pour un temps de prière le mercredi 17 Mars 2021
( 4ème semaine de Carême)


Conseils de préparation :
On mettra en valeur dans l'église la croix du Christ, l' ambon avec la Bible. À proximité on mettra une belle bougie. Il est vivement recommandé de désigner les lecteurs à l'avance afin de leur transmettre les textes quelques jours avant le temps de prière. Pour l'animation de la célébration, il y aura dans la mesure du possible une personne qui conduit la prière, plusieurs lecteurs, une personne pour entonner et soutenir le chant des participants. Il serait bon de prévoir aussi une feuille pour l'assemblée afin de favoriser la participation.


Feuille pour l'Assemblée à télécharger.


Dieu nous rassemble :


Monition d'accueil


Celui ou celle qui conduit la prière (ANIM) :
Frères et soeurs, nous voici rassemblés en cette quatrième semaine du temps de Carême pour continuer notre route vers Pâques. Le Seigneur est toujours prêt à pardonner à son peuple. Même au milieu de nos souffrances, il nous donne la possibilité de nous relever. Que cette halte spirituelle nous apporte la lumière et la libération et qu' elle nous permette d'accueillir la tendresse et l'amour infini de Dieu notre Père.


Verset d'ouverture - Signe de Croix


ANIM : Dieu, viens à mon aide,
Tous répondent : Seigneur, à notre secours.
Gloire au Père, et au Fils et au Saint-Esprit,
au Dieu qui est, qui était et qui vient,
pour les siècles des siècles. Amen.


Hymne : Peuple de Dieu, n'aie pas de honte. ( T 9 et CNA 575 )


1. Peuple de Dieu, n’aie pas de honte,
Montre ton signe à ce temps-ci !
En traversant l’âge du monde,
Cherche ton souffle dans l’Esprit ;
Lève ton hymne à sa puissance,
Tourne à sa grâce ton penchant :
Pour qu’il habite tes louanges
Et soit visible en ses enfants.


2. Tiens son amour, tiens son épreuve ;
C’est dans la joie qu’il te confie
Toute la charge de son oeuvre
Pour qu'elle chante par ta voix :
Ne te replie pas sur toi-même
Comme si Dieu faisait ainsi !
C’est quand tu aimes que Dieu t’aime,
Ouvre ton coeur, fais comme lui.


3. Va, puise dans ton héritage
Et, sans compter, partage-le ;
Gagne l’épreuve de cet âge,
Porte partout le nom de Dieu !
Qu’il te rudoie, qu’il te réveille :
Tu es son corps, dans son Esprit !
Peuple d’un Dieu qui fait merveille,
Sois sa merveille d’aujourd’hui.


Il est possible d'écouter cette hymme en utilisant le lien suivant :
https://www.youtube.com/watch?v=24c0FWBGSf8


On peut préférer choisir une autre hymne comme par exemple « Puique Dieu nous a aimé » ou bien un chant plus connu de la communauté paroissiale comme «Lumière des hommes » (GLH 134-2) ou « Vivons en enfants de Lumière (G14-57-1 - CNA 430) ».


Dieu nous parle et entend nos prières


Antienne :


Tous s'assoient. Un lecteur L 1 depuis sa place, lit la phrase de l'Écriture qui
introduit le psaume :


Voici la preuve que Dieu nous aime :
pour nous, pécheurs, le Christ est mort.


On peut choisir d'opter pour une antienne chantée :


Le Seigneur est tendresse et pitié. (cf CNA p. 124 Ant : 2)


Psaume 102 - I


1 Bénis le Seigneur, ô mon âme,
bénis son nom très saint, tout mon être !


2 Bénis le Seigneur, ô mon âme,
n'oublie aucun de ses bienfaits !


3 Car il pardonne toutes tes offenses
et te guérit de toute maladie ;


4 il réclame ta vie à la tombe
et te couronne d'amour et de tendresse ;


5 il comble de biens tes vieux jours :
tu renouvelles, comme l'aigle, ta jeunesse.


6 Le Seigneur fait oeuvre de justice,
il défend le droit des opprimés.


7 Il révèle ses desseins à Moïse,
aux enfants d'Israël ses hauts faits.


Tous : Gloire au Père, et au Fils et au Saint-Esprit,
pour les siècles des siècles. Amen.


Antienne :


Si on choisit la version parlée du psaume 102-2, un lecteur ( L 1 ) peut lire la phrase suivante :


R/ Il est notre Dieu, et nous sommes ton peuple.


Psaume 102 - II


8 Le Seigneur est tendresse et pitié,
lent à la colère et plein d'amour ;


9 il n'est pas pour toujours en procès ;
ne maintient pas sans fin ses reproches ;


10 il n'agit pas envers nous selon nos fautes,
ne nous rend pas selon nos offenses.
11 Comme le ciel domine la terre,
fort est son amour pour qui le craint ;


12 aussi loin qu'est l'orient de l'occident,
il met loin de nous nos péchés ;
13 comme la tendresse du père pour ses fils,
la tendresse du Seigneur pour qui le craint !


14 Il sait de quoi nous sommes pétris,
il se souvient que nous sommes poussière.
15 L'homme ! ses jours sont comme l'herbe ;
comme la fleur des champs, il fleurit :


16 dès que souffle le vent, il n'est plus,
même la place où il était l'ignore.
Gloire au Père, et au Fils et au Saint-Esprit,
pour les siècles des siècles. Amen.


Psaume 102 - III ( L 2 )


17 Mais l'amour du Seigneur, sur ceux qui le craignent,
est de toujours à toujours, *
et sa justice pour les enfants de leurs enfants,
18 pour ceux qui gardent son alliance
et se souviennent d'accomplir ses volontés.


19 Le Seigneur a son trône dans les cieux :
sa royauté s'étend sur l'univers.
20 Messagers du Seigneur, bénissez-le,
invincibles porteurs de ses ordres, *
attentifs au son de sa parole !


21 Bénissez-le, armées du Seigneur,
serviteurs qui exécutez ses désirs !
22 Toutes les oeuvres du Seigneur, bénissez-le,
sur toute l'étendue de son empire !


Bénis le Seigneur, ô mon âme ! (Chantée sur l'incise finale)


Rendons gloire au Père tout-puissant,
à son Fils Jésus-Christ, le Seigneur,
à l'Esprit qui habite en nos coeurs,
pour les siècles des siècles. Amen.


Oraison psalmique (ANIM)


Dieu de tendresse, notre Père, toi qui veux la vie de tes enfants, tu nous a révélédans le Christ la hauteur, la largeur et la profondeur de ton amour. En lui, renouvelle la jeunesse de ton Église ; par lui, garde-la fidèle à ton Alliance, pour qu' avec lui elle ne cesse de te bénir. (cf Chants Notés de l'Assemblée p. 124)


Mise en oeuvre de la psalmodie


Les trois sections du psaume 102 peuvent être chantées selon la psalmodie indiquée dans le CNA avec l'antienne « Le Seigneur est tendresse et pitié ».


Si l'on ne dispose pas de moyens musicaux, on peut « parler » le psaume 102 en faisant alterner deux groupes. La feuille pour l'assemblée propose une autre version du psaume parlé : deux lecteurs A et B dialoguent. Les répons en caractère gras sont lus par tous.


Il est possible d'opter pour l'une ou l'autre section du psaume ou bien de le prendre dans son intégralité. À vous de choisir la mise en oeuvre qui convient le mieux à votre communauté.


Verset (ANIM)


V/ Convertissez-vous et faites pénitence,
faites-vous un coeur nouveau et un esprit nouveau.


Puis, on peut introduire la lecture biblique en ces termes :


Délivré de la captivité, Israël garde la nostalgie du confort de sa vie passée. La marche au désert dans une foi dépouillée, n'a rien de réjouissant. Mais le bras de Dieu n'est pas trop court : il nous a promis que le reste nous sera donné par surcroît, si nous cherchons la vraie vie.


Un lecteur, ( L3 ) si possible différent de la personne qui conduit la célébration s'avance pour proclamer de l'ambon la Parole à partir de la Bible selon la traduction liturgique.


Parole de Dieu : Du livre des Nombres ( Nb 11, 4-6.10-30 ) L3
( Plaintes de Moïse )


Il y avait un ramassis de gens qui était mêlé au peuple ; ceux-ci furent saisis de convoitise. Même les fils d’Israël se remirent à pleurer : « Ah ! qui donc nous donnera de la viande à manger ? Nous nous rappelons encore le poisson que nous mangions pour rien en Égypte, et les concombres, les melons, les poireaux, les oignons et l’ail ! Maintenant notre gorge est desséchée ; nous ne voyons jamais rien que de la manne ! »

Moïse entendit pleurer le peuple, groupé par clans, chacun à l’entrée de sa tente. Le SEIGNEUR s’enflamma d’une grande colère. Cela déplut à Moïse, et il dit au Seigneur : « Pourquoi traiter si mal ton serviteur ? Pourquoi n’ai-je pas trouvé grâce à tes yeux que tu m’aies imposé le fardeau de tout ce peuple ? Est-ce moi qui ai conçu tout ce peuple, est ce moi qui l’ai enfanté, pour que tu me dises : “Comme on“ porte un nourrisson, porte ce peuple dans tes bras jusqu’au pays que j’ai juré de donner “à tes pères” ? Où puis-je trouver de la viande pour en donner à tout ce peuple, quand ils viennent pleurer près de moi en disant : “Donne-nous de la viande à manger” ? Je ne puis, à moi seul, porter tout ce peuple : c’est trop lourd pour moi. Si c’est ainsi que tu me traites, tue-moi donc; oui, tue-moi, si j’ai trouvé grâce à tes yeux. Que je ne voie pas mon malheur ! » Le SEIGNEUR dit alors à Moïse : « Rassemble-moi soixante-dix hommes parmi les anciens d’Israël, connus par toi comme des anciens et des scribes du peuple. Tu les amèneras à la tente de la Rencontre, où ils se présenteront avec toi. Là, je descendrai pour te parler, et je prendrai une part de l’esprit qui est sur toi pour le mettre sur eux. Ainsi ils porteront avec toi le fardeau de ce peuple, et tu ne seras plus seul à le porter. Au peuple, tu diras : Sanctifiez-vous pour demain ! Et vous mangerez de la viande, car les oreilles du SEIGNEUR ont entendu vos pleurs quand vous disiez : “ Qui nous donnera de la viande à manger ? Comme nous étions bien en Égypte! » Eh bien ! Le SEIGNEUR vous donnera de la viande, et vous en mangerez ! Vous n’en mangerez pas seulement un jour, deux jours, cinq jours, dix jours, vingt jours, mais tout un mois, jusqu’à ce qu’elle vous sorte par le nez, et que vous en ayez la nausée. Tout cela parce que vous avez rejeté le SEIGNEUR qui est au milieu de vous et que vous avez pleuré devant lui en disant : “Pourquoi donc sommes-nous sortis d’Égypte ? ” »


Moïse répliqua : « Le peuple au milieu duquel je suis compte 600 000 hommes à  pied, et toi, tu dis : “Je leur donnerai de la viande, et ils mangeront pendant tout un mois ! ” Égorgera-t-on pour eux du petit et du gros bétail ? Et cela leur suffirait-il ? Tous les poissons de la mer, si on pouvait les ramasser pour eux, cela leur suffirait-il ? » Et le SEIGNEUR dit à Moïse : « La main du SEIGNEUR serait-elle trop courte ? Maintenant tu vas voir si ma parole se réalise pour toi, oui ou non ! »


Moïse sortit pour transmettre au peuple les paroles du SEIGNEUR. Puis il réunit soixante-dix hommes parmi les anciens du peuple et les plaça autour de la Tente. Le SEIGNEUR descendit dans la nuée pour parler avec Moïse. Il prit une part de l’esprit qui reposait sur celui-ci, et le mit sur les soixante-dix anciens. Dès que l’esprit reposa sur eux, ils se mirent à prophétiser, mais cela ne dura pas. Or, deux hommes étaient restés dans le camp ; l’un s’appelait Eldad, et l’autre Médad. L’esprit reposa sur eux ; eux aussi avaient été choisis, mais ils ne s’étaient pas rendus à la Tente, et c’est dans le camp qu’ils se mirent à prophétiser. Un jeune homme courut annoncer à Moïse : « Eldad et Médad prophétisent dans le camp ! » Josué, fils de Noun, auxiliaire de Moïse depuis sa jeunesse, prit la parole :b « Moïse, mon maître, arrête-les ! » Mais Moïse lui dit : « Serais-tu jaloux pour moi ? Ah ! Si le SEIGNEUR pouvait faire de tout son peuple un peuple de prophétes ! Si le SEIGNEUR pouvait mettre son esprit sur eux ! » Puis Moïse se retira dans le camp et, avec lui, les anciens d’Israël.


Temps de méditation en silence
ou
Option pour le choix d'un chant comme par exemple :
Prophète pour les peuples SM 175
(Signes Musiques n° 66 – CD Signes n° 8)


Prophète pour les peuples ( T : B. Gschwind - M : B. Bayle )


Refrain :


Éveille l'aurore,
Sois le sel de la terre,
Lumière pour ton frère,
Témoin du Dieu Vivant !


1. Si dans ta vie une voix t’interpelle,
N’entends-tu pas ton Dieu qui cherche à te parler ?
Moissonneur du blé levé,
Dieu a besoin de tes mains.
Lève-toi, prophète pour les peuples !


2. Si en chemin un ami te fait signe,
Ne vois-tu pas ton Dieu qui vient te rencontrer ?
Pain rompu qui donne vie,
Dieu a parlé à ton coeur.
Lève-toi, prophète pour les peuples ! R/


3. Si un matin le silence t’appelle
N’entends-tu pas ton Dieu qui parle au fond de toi ?
Bâtisseur de l’avenir,
Dieu a besoin de tes mains.
Lève-toi, prophète pour les peuples ! R/


4. Si dans la nuit une étoile se lève,
Ne vois-tu pas que Dieu te montre le chemin ?
Compagnon des nuits sans fin,
Dieu habite parmi nous.
Lève-toi, prophète pour les peuples ! R/


On peut écouter ce chant en utilisant le lien suivant :
https://www.youtube.com/watch?v=qF7NJwd4UIY


Lettre de Saint Maxime le confesseur
« Je ne suis pas venu appeler les justes, mais les pécheurs » L4


Les prédicateurs de la vérité, ceux qui sont les officiants de la grâce divine, nous ont appris, depuis le commencement et chacun à son époque jusqu' à la nôtre, que Dieu veut notre salut. Et ils nous disent que Dieu n'aime, ne désire rien davantage que de voir les hommes se tourner vers lui par une véritable conversion.


Et le Verbe divin de Dieu le Père a voulu montrer qu' un tel désir était beaucoup plus divin que tout autre. Bien plus, il est lui-même le premier et incomparable témoignage de la bonté infinie. Par un abaissement en notre faveur qui défie toute expression, il a daigné partager notre vie par l'Incarnation. Par ses actes, ses souffrances, ses paroles, adaptés à notre condition, il nous a réconciliés avec Dieu le Père, alors que nous étions des ennemis en guerre avec lui ; et alors que nous étions exilés de la vie bienheureuse, il nous y a ramenés.


En effet, il ne s'est pas contenté de guérir nos maladies par ses miracles, en prenant sur lui nos souffrances et nos faiblesses ; non seulement, en acceptant la mort comme s'il y était astreint, lui qui est sans péché, il a payé notre dette et nous a libérés de nos fautes nombreuses et redoutables, mais en outre, il nous a instruits de mille manières pour que nous ayons une bonté pareille à la sienne et il nous a invités à un parfait amour mutuel.


C ' est pourquoi il s' écriait : Je ne suis pas venu appeler les justes, mais les pécheurs, pour qu'ils se convertissent. Et aussi : Ce ne sont pas les bien-portants qui ont besoin du médecin, mais les malades. Il a dit aussi qu'il était venu chercher et sauver ce qui était perdu. Et aussi qu'il avait été envoyé aux brebis perdues de la maison d'Israël. Il a encore suggéré par la parabole de la drachme perdue qu'il était venu récupérer l'effigie royale souillée par l'ordure des vices. Et il a dit encore : Vraiment, je vous le dis, on se réjouira dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit.


C'est pourquoi l'homme qui était tombé sur des bandits, qui avait été dépouillé de tous ses vêtements, et qui avait été abandonné à demi-mort, du fait de ses blessures, il l'a réconforté avec du vin, de l'huile, et lui a fait des pansements ; après l'avoir mis sur sa monture, il l'a confié à une auberge et, après avoir pourvu à ses besoins, il lui promit de régler à son retour les dépenses supplémentaires.


C'est pour cela encore qu'il nous montre le Père très bon se penchant vers son fils prodigue de retour, l'embrassant alors qu'il revient vers lui par la conversion, pour lui rendre toutes les parures de la gloire paternelle, sans lui faire aucun reproche pour le passé.


C'est pour cela qu'il a ramené au bercail la brebis qui avait abandonné le troupeau divin, après l'avoir trouvée errante par les montagnes et les collines ; sans la chasser devant lui, sans l'épuiser de fatigue, mais en la mettant sur ses épaules, il la réintroduit miséricordieusement parmi ses pareilles.


C'est pourquoi il a crié : Venez à moi, vous tous qui peinez sous le fardeau, dont le coeur est accablé, et moi, je vous procurerai le repos.Prenez sur vous mon joug. Ce qu'il appelle joug, ce sont les commandements, c'est une vie conforme à l' Évangile ; il appelle fardeau ce qui semble pesant dans la pénitence : Oui, ditil, mon joug est facile à porter, et mon fardeau léger.


En outre, en montrant la justice et la bonté divines, il prescrit : Soyez saints, soyez parfaits, soyez miséricordieux comme votre Père des cieux. Et aussi : Pardonnez, et vous serez pardonnés. Et enfin : Tout ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le aussi pour eux.


TEMPS DE SILENCE
ou
Choix d'un chant en guise de réponse comme par exemple :


« Aimons-nous » DEV 56 ( T et M : R. Fau)


R/ AIMONS-NOUS LES UNS LES AUTRES
COMME DIEU NOUS A AIMÉS.


1. Jusqu’à en souffrir, Il nous a aimés.
Jusqu’à en mourir, Il nous a aimés. R/


2. Pour tous nos péchés, Il nous a aimés.
Pour nos lâchetés, Il nous a aimés. R/


3. Parce qu’il est bon, Il nous a aimés.
C’est lui le pardon, Il nous a aimés. R/


4. D’un amour vivant, Il nous a aimés.
Comme ses enfants, Il nous a aimés. R/


La partition se trouve dans la revue « Signes Musiques » n° 144.
Ce chant est enregistré dans le CD n°86.

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Notre Père (dit)


Dieu nous envoie


Oraison (ANIM)


Dieu qui réponds à la pénitence en récompensant les justes et en pardonnant aux pécheurs, prends pitié de nous, écoute-nous : que l'aveu de nos fautes nous obtienne la grâce de ton pardon. Par Jésus Christ ton Fils, notre Seigneur et notre Dieu, qui règne avec toi et le Saint Esprit, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen.


Prière de Bénédiction (ANIM)


- Que Dieu, dans sa toute puissance,
éloigne de nous le mal,
et nous tienne en sa bénédiction. Tous : Amen.


- Bénissons le Seigneur.
Tous : Nous rendons grâce à Dieu.

 

Téléchargez la trame de célébration

 

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